ππ ππ πππππππππ π’ππππ πππππππ π ππ ππππππππππ ππππππ, ππ π ππ ππππππππππππ.

Dans l’un de ses derniers spectacles, πππππ ππππ , l’un des artistes les plus apprΓ©ciΓ©s du Cameroun et d’Afrique s’est arrΓͺtΓ© pour s’indigner de ce que les parents communiquent en langues Γ©trangΓ¨res avec les enfants Γ la maison, il relevait selon lui l’importance des langues locales en famille pour la garantie de notre identitΓ© culturelle qui est une richesse pour notre pays.
Cet extrait a Γ©tΓ© rΓ©cupΓ©rΓ© et dΓ©formΓ© par une opposition aux aguets et en panne de proposions, une opposition qui s’agrippe aux faits divers pour espΓ©rer une survie et cette agitation qui Γ©tale malheureusement toute ses dΓ©faillances Γ l’approche d’une Γ©chΓ©ance Γ©lectorale importante.
πππππ ππππ souhaite que les camerounais s’assument et n’utilisent pas toujours les Γ©nergies des uns et des autres Γ des fins de manipulation, il estime que nous sommes un grand pays et chacun doit se dΓ©terminer pour son Γ©volution, qui permettra de se rattraper dans ce retard accusΓ©. Si ses propos ont Γ©tΓ© mal interprΓ©tΓ©s, il n’est pas le porte-voix des opposants excitΓ©s Γ s’approprier ses paroles pour en faire une petite lutte politique qui ne sert qu’Γ Γ alimenter les intrigues et les divisions entre Camerounais. Pour lui, un pays sΓ©rieux a besoin de citoyens qui dΓ©battent pour avancer et non qui se battent Γ travers des querelles de clochers.
Nous l’aurons en interview bientΓ΄t pour plus de dΓ©tails et de clarification.
TEXTE ET PHOTO DE PAUL DAIZY BIYA
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