Réseau des défenseurs des droits humains de l’Afrique centrale( REDHAC) l’a réaffirmé devant les journalistes.
Prévu à 13h, c’est exactement à 14h que ce point de presse a commencé ce 18 Janvier 2021 avec la prise de parole de la directrice exécutive du REDHAC, Maximilienne NGO MBE suivi de la co-présidente du conseil d’administration, Maître Alice KOM et Maître FENELON MAHOP SEN. objectifs, entretenir la presse sur quatre points majeurs, notamment les prisonniers d’opinion au Cameroun, la recrudescence des violences et les exactions dans le nord-ouest et le sud-ouest, les attaques répétitives de boko haram et la situation sécuritaire en république centrafricaine.
Au cours de ce point de presse, la directrice exécutive du REDHAC a déploré la situation déplaisante de plus de 100 prisonniers d’opinion qui croupissent jusqu’à nos jours dans les mailles des prisons camerounaises du fait d’avoir exprimer leur liberté d’opinion et de manifestation pacifique. Constat a également été fait sur la situation de NGAHANE NTOUKA vidal et TSI CHIA napoléon y compris les jeunes de STAND-UP FOR CAMEROON arrêtés dans le cadre des manifestations du 22 septembre, qui n’ont jamais vu le juge d’instruction.
selon cette organisation non gouvernemental l’État camerounais devrait cesser d’utiliser abusivement la loi numéro 2014/028 du 23 septembre 2014 portant répression des actes terroristes. un peu plus loin, le REDHAC s’est également senti interpeller sur la situation calamiteuse qui prévaut en République Centrafricaine au lendemain de la présidentielle car selon maximilienne NGO MBE<>elle demande aux institutions centrafricaines de respecter les lois de la république. En clair, le réseau des défenseurs des droits humains de l’Afrique centrale reste cloîtré dans sa position, celle de dénoncer et de s’insurger contre les assassinats et autres traitements humains mais surtout de condamner avec fermeté ces crimes odieux perpétrés par les séparatistes et les forces de défense et de sécurité.
Martial SOP