Les nouvelles ne sont pas bonnes pour l’artiste qui enchaine les rechutes

Roger Essindi, alias Happy d’Efoulan est dans un état critique. Violent et Incapable de reconnaitre les gens, le jeune serait en train de devenir psychologiquement instable à Ebolowa auprès des membres de sa famille. Entre Drogue, alcool et autres addictions, la star du Mbolé peine à retrouver la scène. Ses nouvelles se retrouvent dans la rubrique des faits divers. Les réseaux sociaux decrive un homme à peine reconnaissable. Sa famille tirait déjà la sonnette d’alarme en Septembre via ce lien: http://www.focusmediaafrique.com/culture-les-proches-de-happy-defoulan-confirme-sa-rechute/
Le cas du jeune prodige du Mbole enflamme la toile. Entre direct et autres sorties ,les langues se délient. L’opinion apprend que Happy d’Efoulan était programmé pour une descente aux enfers .Les troubles psychologiques etaient inevitables . Sans porter les gants DJ Lexus Le Monstre se déchaine « Tous ces gens se cachent derrière le fait que les enfants se kior pour justifier leurs actes. Arrêtez de salir le mouvement mbolé! Vous avez troublé ces enfants aujourd’hui, ils sont obligés de se donner à la drogue 3 Plus pour oublier tout ce qu’ils ont subi ! » Robinfon Piffo lui emboite le pas en parlant d’un réseau occulte bien connu qui récupère les pepites de l’art ,les traumatisent avant de les jeter à la verdict populaire « Ils ont fait à Happy D’Efoulan nette ce que Diddy a fait à Justin Bieber … Son ancien producteur manager s’est acheté une grosse voiture et s’est construit une maison avec l’argent de Happy … » va renchérir Robinson Piffo

Au fur et a mesure que l’état de santé de happy d’Efoulan se dégrade avec des appels au soutien; des doigts accusateurs sont pointés sur sa famille et ses différents managers. L’arrivée du succès a éloigné happy de sa famille. Celle-ci aurait refuser de jouer le rôle d’encadrement familiale nécessaire . Son échec au Baccalauréat est passé comme une lettre à la poste, bluffé par le succès musical, la famille aurait laissé faire pour pleurer aujourd’hui. Que dire du management, il a été complément à côté de la plaque, les managers n’ont pas su préverser la poule aux œufs d’or. Le résultat est là. Et DJ Lexus Le Monstre de conclure « Que celui qui n’a jamais péché, lève le doigt !
Vous prenez les enfants des gens qui fumaient un joint par jour avant d’entrer au studio, vous les vendez le rêve vous les éloignez de leurs familles pour mieux profiter d’eux ! Vous les rendez accrocs au stupéfiant, soi-disant c’est la vie des stars ! Pendant ce temps, vous empochez leur argent des spectacles, etc. Deux jeunes qui ont eu leurs succès se son frotter à une même personne ! Et le résultat est pareil ! Normalement il devrait être interpellé !
Les faux producteurs et managers pardon laissez le mbolé tranquille! »

Loin d’être un cas isolé, la situation du jeune happy d’efoulan traduit un malaise profond dans ce qui peut être considéré comme l’industrie musicale. Abandonnés par les pouvoirs publics, les artistes sont à la merci des charognards qui font feu de tout bois. Associations, syndicats et autres regroupements d’artistes censés dénoncer cette situation se retrouvent phagocyter par les querelles du droit d’auteur.
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