Léché, lâché et lynché, l’homme politique est désormais un citoyen ordinaire.
La tête de la présidence du partie Pastef vient à été mise à terre.
En effet, la protection immunitaire de l’ancien député Ousmane Sonko a été dérouté à cause d’une accusation mitigée par une jeunette de vingtaine d’années.
Poussez vers la porte de sortir par les membres gouvernementales et parlementaires.
Ousmane Sonko, est devenu fragile,
Depuis ce vendredi 26 février, Ousmane Sonko est redevenu une personne ordinaire et on peut le traîner facilement en justice. Cet individu de l’autre jour avait le titre de député ne peut désormais plus se prévaloir de son immunité pour justifier son absence aux convocations des enquêteurs dans l’affaire de mœurs qui menace sa réputation comme son avenir politique.
L’opposition était redoutable,
Seul contre tous !!!
Dans une situation perplexe de haut en bas, les députés présents, 98 ont voté en faveur de la levée de l’immunité d’Ousmane Sonko.Donc qui est ami de l’ami ?
Une maigre constatation, un seul cote contre et deux se sont abstenus. Ceux de l’opposition ont quitté la salle avant le vote. Voici un goût amère pour une situation totalement déséquilibrée.
Selon un journal local, les 98 pairs d’Ousmane Sonko ayant voté la levée d’immunité se sont conformés aux recommandations de la Commission ad hoc chargée d’examiner la procédure, installée le 15 février. Dans le rapport de la Commission, les députés estiment que « le député Ousmane Sonko doit aller se défendre devant la justice et l’accusatrice doit avoir la possibilité de se défendre devant la justice, seule compétente pour dire le droit et faire triompher la vérité ».
Les faits sont là, et les charges ont été retenues pour la partie de la plaignante, Ousmane Sonko, est coupable avant que les preuves ne sont rapportées à la barre !
Époustouflante situation,
« Si Macky Sall veut me liquider, il devra, pour une fois, accepter de se salir les mains », a-t-il déclaré jeudi lors d’une conférence de presse, en anticipation de la levée de son immunité parlementaire actée le lendemain. « Je ne répondrai pas à une telle convocation parce que les règles de la procédure de levée de l’immunité n’ont pas été respectées », a-t-il poursuivi.
La rue, unique rempart contre le pouvoir
Vendredi matin, certains de ses partisans ont brûlé des pneus sur la chaussée dans plusieurs quartiers de Dakar et de sa banlieue.
Affaire à suivre…