En effet, il s’agit de la décision prise par GLK et Novartis le mois dernier. Ils financeront les travaux de recherche sur les moyens de lutte contre le paludisme et la tuberculose en Afrique. Une volonté rendue publique dans un communiqué pour accompagner un projet dénommé « Africa GRADIENT ».
Un appel lancé aux chercheurs
En effet, Africa GRADIENT a appelé les chercheurs Africains à présenter des propositions d’étude sur le lien entre la diversité génétique et la réponse aux médicaments contre le paludisme et la tuberculose chez les patients africains. Il s’agit d’un financement combiné de 1 milliard 800 millions de FCFA sur cinq ans.
Aussi, toujours selon le communiqué de presse, le projet Africa GRADIENT, appelle les chercheurs africains à soumettre des propositions de recherche pertinentes. Les travaux porteront exclusivement sur l’importance de la diversité génétique africaine dans le traitement du paludisme et de la tuberculose.
D’après Pauline Williams, la vice-présidente de GLK, la diversité génétique africaine est la cause majoritaire de ces difficultés. Elle confirme par ailleurs que ces deux maladies causent plus de dégâts en Afrique. Le projet Africa GRADIENT, se présente ainsi comme une solution.

L’amélioration de la qualité de soins
Aussi, le principal challenge de ce projet reste l’amélioration des soins des malades. Pour le Dr. Lutz Hegemann, directeur de ces opérations, Novartis s’est engagé de longue date à améliorer et à prolonger la vie des patients partout dans le monde. « Nos efforts incluent la recherche de moyens innovants pour améliorer la qualité des soins. » a t-il affirmé.

Enfin, le communiqué de presse précise que ce projet est géré par le Conseil sud-africain de la recherche médicale (SAMRC). Un comité directeur conjoint supervisera également l’examen des propositions. Les chercheurs doivent s’inscrire via le site web du SAMRC. Et, les lauréats finaux devraient être annoncés fin 2021.
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