
C’est le constat fait à l’assemblée nationale le 06 Juillet 2023 durant la séance pleniere a lui consacre.
Contrairement a l’année 2022 où le gouvernement a déposé le document de programmation économique et budgétaire quelques deux heures avant le débat proprement dite, les élus de la nation ont eu trois jours pour examiner les documents. Une amélioration qui ne respecte pas toujours les dispositions règlementaires. Lesquelles disent que les éléments servant de base au débat d’orientation budgétaire pour la préparation du projet de budget de l’Etat pour l’année avenir doivent être acheminer aux députés au plus tard le 1er Juillet.
Le ministre des finances a son corps défendant affirme que les efforts doivent être fait par le gouvernement et le parlement. Ce qui justifie le retard de cette année est que le document devait d’avoir passe par le conseil de cabinet pour approbation. Il se trouve celui du mois de Juin s’est tenu le 20 en tenant compte des amendements du gouvernement c’était difficile de l’acheminer a temps. Conscient du retard Louis Paul MOTAZE affirme que les ligne bourge. Il a tenu à rappeler au parlementaire l’objectif du debat d’orientation budgétaire. Pour l’exécutif c’est un moment d’écoute, de discussion tous azimuts et autres orientations du budget avenir avec les hommes et femmes de terrain que sont les élus de la nation. Au regard du caractère sensible de cette exercice le bureau de la chambre basse l’a d’abord fait passer en commission avant d’élargir le débat en pleniene.

Un debat très enrichissant qui a débouché sur un ensemble de recommandations dont voici quelques-unes :
Accélération du processus d’import-substitution en accordant des ressources budgétaires conséquentes pour la production de biens de consommation de masse , notamment blé, le riz, le the et l’huile de palme, Accompagnement effectif des collectivités territoriales décentralisées dans la mise en place d’une fiscalité locale en vue de leur autonomisation financière La mise a disposition des communes, de machines a timbrer en vue de sécuriser les recette fiscales, Finalisation de la mise en place du système intégré de gestion informatisée du personnel de l’Etat et de la Solde « SIGIPES 2 », L’arrimage des différentes administrations publique au numérique en vue de garantir une meilleure performance et permettre la migration des entreprises du secteur informel vers le formel, La nécessité d’instaurer la facture normalisée en vue de réduire la fraude fiscale en matière de TVA.
T.E
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