Présidentielle 2025 : Samuel Iyodi Hiram, visage du vrai changement et non du remplacement choisi par le FDC

Le Djeuga Palace Hotel a été choisi comme cadre solennel de la présentation à la presse et au public du candidat investi par le Front des Démocrates Camerounais (FDC) et ses partis alliés.

Face aux professionnels des médias, Denis Emilien Atangana, président national du FDC, a déclaré avoir été sollicité par 52 personnalités et mouvements politiques en vue d’une investiture. Toutefois, son choix — partagé par la base militante — s’est porté sur Samuel Iyodi Hiram, estimant qu’il incarne un renouveau du vrai changement et non du remplacement . Sa jeunesse, ses valeurs et l’idéologie qu’il défend s’alignent naturellement avec celles du FDC.

Lors de la conférence de presse du 31 juillet 2025, le conseiller municipal de Monatele a dénoncé avec force la situation paradoxale des jeunes Camerounais, qui prennent leur retraite sans avoir jamais exercé un emploi. Denis Emilien Atangana a également condamné fermement la « délinquance sénile », s’érigeant contre les dérives du système politique actuel.

Une candidature qui tranche avec les codes établis

Dans un climat de méfiance généralisée, où chaque ambition est scrutée avec suspicion ou jugée opportuniste, l’arrivée de Samuel Iyodi Hiram interpelle. Son programme repose sur deux piliers fondamentaux : justice sociale et prospérité partagée.

N’étant issu ni d’un appareil politique traditionnel ni d’un parti fossilisé, et ne s’appuyant pas sur un héritage politique entaché de compromissions, sa candidature semble émerger d’un espace rare : celui du silence des humbles et de la patience des justes. Certains critiques lui reprochent toutefois une entrée jugée trop soudaine sur la scène nationale.

Le plus jeune candidat, mais loin d’être novice

À seulement 23 ans, Samuel Iyodi Hiram publiait déjà un ouvrage marquant exposant sa vision du monde social. Fort de près de vingt années d’engagement politique, il incarne un visage neuf et porteur d’espoir pour une génération qui rejette les extrêmes — dictature et caricature, silence et folklore.

L’homme se présente comme un président qui ne cherche pas à écraser, mais à guérir. Une posture singulière et audacieuse qui pourrait bien séduire un électorat en quête d’authenticité et de rupture.

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