Appelé à prononcer un discours lors d’une table ronde organisée en prélude au sommet Afrique – État Unis d’Amérique, le président camerounais a demandé aux financiers des pays du son continent à revoir leurs différentes méthodes de financement.
Situé aux antipodes du sommet France – Afrique dont la formule a été revue. Le président Français Emmanuel Macron qui avait décidé de réunir autour de lui la crème de l’intelligentsia Africaine à Montpellier en 2020. Le sommet USA -Afrique rassemble 49 chefs d’État et les dirigeants Américain. À un jour de ce symposium une table ronde privée Miklen institute – invest Africa US s’est tenue. Aucour de cet échange, le président camerounais a tout d’abord soulever les différents facteurs qui entravent
Le développement de l’Afrique. Notamment la mise en garde de certaines ressources naturelles sollicitées par les investisseurs, les prêts sans mouvement de fond vers le continent, la non disponibilité des capitaux. Comme solution, le président Biya prone le financement de l’exploitation et de la transformation des ressources naturelles de l’Afrique sur son sol.
l’Afrique a besoin de capitaux à long terme
Si on s’en tient aux grandes résolution du sommet de Montpellier et aux défis actuels, l’on pourrait dire que le président camerounais est en marge des recommandations formulées par les Africains qui estiment que l’aide octroyé au continent ne l’aide pas à sortir du sous développement. Situé au carrefour de la mondialisation qui est un centre du donné et du recevoir où chacun apporte ce qu’il a de plus cher au monde l’Afrique doit impérativement se réveiller comme affirment certaines activistes à l’instar de Nathalie yamb, l’écrivaine camerounaise Calixte Behala ou encore le président de transition Malienne le colonel Assimi Goita.
Richard TESSOH
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