Le centre de développement numérique universitaire est disponible
Le projet e-National Higher Education Network marque un saut qualitatif. Il s’agit de la présentation des centres de développement du numérique universitaires et du Centre national de supervision du réseau interconnecté( RIC). Cette deuxième phase, arrive après la première qui consistait en l’opération un étudiant un ordinateur portable.
Un bond numérique
Il s’opère donc dans les 8 universités d’État en plus de l’université inter-états Cameroun Congo de Sangmélima, une avancée remarquable. Les étudiants camerounais pourront ainsi faire leur intrusion au cyber espace planétaire faisant d’eux des citoyens du monde moderne. Le ministre en charge de l’enseignement supérieur, le professeur Jacques femme Ndongo, fait savoir que les universités camerounaise sont en pleine mutation. Il a par ailleurs déclaré: » nous sommes ici en pleine innovation technologique et numérique non seulement camerounaise, mais aussi sous-régionale, régionale et même planétaire ».
Une plus value
La numérisation des universités est une aubaine pour les étudiants. Ceux-ci pourraient désormais faire, l’économie de la distance pour suivre les cours. Et même le suivi de leurs mémoires se fera de manière aisé. Ce qui a fait dire au vice-recteur chargé des TIC à l’Université de Yaoundé 2, le professeur Jean-Emmanuel Pondi que, l’université va changer d’approche. Il a laissé entendre : » Avec l’approche digital, la haute technologie nous avons des équipements qui permettent de mettre en contact tous les étudiants ».
Il faut noter que, ces structures sont dotées des fonctionnalités, adossées sur une technologie de haut niveau. Les enseignements à distance peuvent désormais compter, sur le e-learning et le e-académique. Les centres numériques universitaires seront interconnectés et permettront à tous les étudiants de recevoir le même cours en temps réel. À travers ce projet qui prend de plus en plus corps, le gouvernement camerounais vient ainsi faciliter l’accès de ses étudiants au digital dans un environnement où l’internet reste un luxe.
DONALD ARMEL OMOLOBINA
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