La période fatidique des festivals approchent, mais l’on s’interroge sur les contenus de ceux-ci.

Les festivals sont généralement des rendez vous dans le but de promouvoir des richesses culturelles de telle ou telle autre localité.
Seulement la couleur donner aux festivals au de Basseck Bakobio , manque d’identité. Dans chaque région l’on retrouve plusieurs festivals dont chaque promoteur voudrait se faire un nom plutôt que de ventre la culture. C’est dans ce melting-pot que se perdent le contenu originel des festivals faisant ainsi place au culte de la personnalité .
Il se pose effectivement un problème d’harmonie des festivals pour une coloration assez vendeuse de nos cultures.
À date l’on peut dénombrer pour la seule période de novembre une vingtaine de festivals dans la ville de Yaoundé , étouffant les festivals . Et pourtant l’on devrait promouvoir les festivals qui ont une notoriété à l’international tel que le Mpo’o, le Ngondo , le festival du Coq ou encore le festival Ebassa .
Si la culture est tout ce qu’il nous reste lorsqu’on a tout perdu , il est urgent de sauver le patrimoine culturel camerounais dont la richesse reste incontestable.
ADO
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