Le Réseau des Journalistes Culturels du Cameroun (RJ2C) s’est rendu le 25 Janvier 2023 à la radio où officiait Martinez ZOGO pour lui rendre hommage.
Acteur culturel en son temps Martinez Zogo a marqué le show-biz. De la gestion d’une boite de nuit au management artistique et culturel il a touché a tous les segments. Son experience dans l’univers des arts et de la culture lui permettait de parler avec autorité à sa façon de certain sujets sensibles de cet écosystème. L’essentiel de ces émissions étaient toujours embaumé d’un zeste culturel dont lui seul avec le secret. C’est fort de ce parcours que G-Laurentine ASSIGA la presidente du reseau des jouranliste culturel du Cameroun a exhorté l’ensemble des membres a lui rendre un hommage mérité et exprimer sa solidarité à la rédaction de la radio qu’il dirigeait. Le dress code était le noir
24 heures apres le passage du Ministre de la communication pour exprimer la compassion du gouvernement , les journalistes culturels se rendre au lieu du deuil choisi par la presse. En sa qualite de rédacteur en chef de la radio Amplitude FM, Charly Tchouemou acceuille l’equipe. Accompagné de sa bougie chacun des membres présent va l’allumer sous la chapelle ardente érigé dans ce media en honneur du Maestro. L’atmospere est lourde, les visages sont tristes. La melancolie s’est installée. Un petit moment de meditation s’impose face a ce depart dans des conditions assez troublantes.
Une quinzaine de minutes plus tard ,Charly Tchouemou va conduire l’ensemble de l’equipe en studio pour leur parler du personnage disparu. On apprendra que Martinez Zogo faisait ses emissions debout presque sans bord. Le rédacteur en chef va revenir sur les contours de son kidnapping, la descente des forces de maintien de l’ordre à la radio une fois l’alerte donnée et la sequense de la découverte du corps à Ebogo 3. Il ne manquera de donner les dernière informations à son niveau sur cette affaire. Notamment que le gouvernement va remettre le corps a la famille du défunt dans deux semaines afin qu’il procède au modalité d’enterrement.
Thierry EDJEGUE
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