Accusation d’abus sexuel , déni de paternité, escroquerie, le promoteur de Bysness production William Seugnou est depuis quelques semaines la cible des dénonciations cybernétiques des plus graves. Retour sur la descente aux enfers de papa soleil, dont la réputation est entrain de sombrer dans l’obscurité.

C’est au cours de la décennie 2010 que William Seugnou va se faire découvrir sur le petit écran. Patron du label Bysness production, il mise sur la comédie musicale. Pari réussi. Avec un groupe de jeunes, il va connaître le succès grâce à des productions telles que Nyanga ou encore Bella. Avec la montée des réseaux sociaux, William va changer son modèle d’affaire et s’investir dans les Webs séries. Là aussi, des personnages comme Cool Black, Atangana ou le justicier de Nkoabang vont contribuer à porter haut le flambeau de sa maison de production. Tout récemment, c’est le succès d’une web télé-réalité dans laquelle il présente sa vie de famille avec sa compagne Laeticia Njassi et son enfant bébé soleil qui a replacer les feux de projecteurs sur lui. Mais voilà, depuis quelques semaines c’est pour tout autre chose que le producteur fait la une sur la toile. D’anciennes compagnes et des ex collaborateurs multiplient des accusations graves à son encontre.
Le 24 Août dernier, c’est son ancienne collaboratrice Brenda Nemi qui va ouvrir le bal. Accusée de vol par son ancien patron, elle va rompre le silence en déclarant avoir été victime de harcèlement sexuel et d’un acte de sodomie sans son consentement. » Tout ça arrive parce que j’ai fermé mes fesses « . Va t’elle lancer pour sa défense. Une sortie par rapport à laquelle William Seugnou va réagir dans la foulée avec le soutien de sa compagne. Quelques jours après, c’est lyzette Njang alors inconnue du grand public qui va annoncer que ce dernier l’a abandonné avec un enfant dont il nie la paternité. Si le camp Seugnou va d’abord tenter de rejeter tout en bloc au pont où Laeticia Njassi va même réclamer un test de paternité, William va finalement abdiquer et reconnaitre son erreur en promettant de s’occuper désormais de son enfant. Mais trop tard. Le rouleau compresseur va continuer son chemin avec les accusations de Label, qui va l’accuser de la rétention d’un montant de près de 2 millions de Francs CFA. Rejoignant ainsi son ancien collaborateur Cool Black qui l’accuse d’exploitation depuis plusieurs années. Mais il y a Désormais plus grave. Dans une note vocale diffusée au cours d’un Facebook live de l’actrice culturelle Baronne de Suisse, on peut écouter une femme formuler des accusations d’abus sexuel à l’encontre de la star du petit écran.
L’affaire William Seugnou est loin d’avoir livré tous ses secrets au vu des révélations qui apparaissent chaque jour. Le producteur vit un sale quart d’heure et voit plusieurs de ses soutiens le lâcher au fil du temps. Plusieurs internautes appellent désormais la justice à se saisir de ces dossiers.
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