Plusieurs formes d’aide humanitaire sont actuellement éparpillées dans le monde pour aider et soutenir les familles dont leurs pays est en difficulté.
Leur rôle se tient à apporter le soutien sanitaire et moral individuel pour chaque communauté des pays pauvres.
Cependant, des faits se seraient produits entre la période de 2018 à ce jour et qui touche la famille humanitaire sur place qui ont pour mission lutter contre le virus Ebola. Des femmes, qui n’ont pas eu le courage d’agir seule et faire des signalements concernant un sujet tabou dont se nomme le viol.
-Nature des accusations :
Elles sont des femmes qui travaillent comme cuisinières, femmes de ménage ou travailleuses communautaires, payées souvent entre 50 et 100 dollars par mois.
-Des femmes qui souffrent en silence :
Elles sont, au total, 51 femmes à accuser des travailleurs internationaux d’abus sexuels. Parmi elles, au moins 30 affirment que des employés de l’Organisation mondiale de la Santé étaient impliqués.
– La réaction de l’organisation mondiale de santé ( OMS):
L’OMS a assuré hier mardi, que ses agents étaient « scandalisés » par ces fausses accusations, a ouvert une enquête interne.
« Les actes qui auraient été commis par des personnes qui disent travailler pour l’OMS sont inacceptables et feront l’objet d’une enquête poussée. (…) Toute personne dont la participation à de tels actes aura été identifiée devra en rendre compte et en subir de graves conséquences, y compris un renvoi immédiat », a déclaré l’OMS dans un communiqué.
-Pas seulement une seule organisation qui serait accusée :
Elles accusent aussi d’autres hommes qui viennent d’autres organisations telles que l’Unicef, Oxfam, Médecins sans frontières, de l’Organisation internationale pour les migrations, de World Vision ou encore d’ALIMA.
-Des témoignages recueillis :
La majorité des témoignages ont été recueillis dans la ville de Béni ( actuellement en guerre), dans l’est de la RDC.
-Formes d’accusations :
Certaines victimes présumées affirment qu’elles auraient été piégées dans des bureaux ou des hôpitaux. Certaines auraient été contraintes d’accepter des avances sexuelles en échange d’une promesse d’embauche ou auraient été menacées de licenciement.
Selon: l’enquête révélée par The New Humanitarian et la Fondation Thomson Reuters avec RFI journal.
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